Ces photographes trouvent chez Roland DUFAU cette capacité d'émotion et ce savoir faire qui est à la source des plus beaux tirages. Pour découvrir ces photographes, cliquez sur leur nom. Pour retourner à la page d'accueil, cliquez ici.

Christophe Cassegrain

Depuis plusieurs années, une grande partie de mon travail photographique est réalise sur le continent Nord Américain ou je m'inspire de cette phrase de Wim Wenders "...cette façon de disparaître tout à fait dans ce que l'on voit, de ne plus éprouver le besoin d'interpréter, mais de strictement regarder". Une vision du paysage dégagée de tout environnement humain, social ou culturel en se basant essentiellement sur le choix du sujet qui exprime la pureté des lignes, le rendu de la matière et de la lumière tout en essayant de nourrir le spectateur d'une émotion aussi intense que celle éprouvée lorsde la prise de vue.

Site web Christophe Cassegrain

Olivier Föllmi

Bien voyager est un art de vivre. Moins vous avez de temps, moins vous devez aller loin. En une heure, vous pouvez voyager auprès de vos voisins. En un jour, autour de chez vous. Le voyage commence chez soi, par le lâcher-prise et l'ouverture à l'autre. Une seule règle : prendre le temps. En partant, oubliez vos habitudes, vos repères, laissez chez vous votre boussole, votre GPS, votre portable, votre lecteur CD, votrecode e-mail, toutes ces ancres de liberté qui donnent l'illusion d'exister. Voyager, c'est partir à la découverte de l’autre. Et le premier inconnu à découvrir, c'est vous. Lâchez prise avec celui que vous croyez être. Mettez vous dans des situations imprévues. L'inattendu éveillera en vous un nouvel être. Partez nu. Osez être mendiant, dépendant des habitants du pays qui vous accueillent. En cultivant simplicité et humilité, toutes les portes s'ouvriront.

Site web Olivier Föllmi

Jean-Daniel Roche

L'essentiel de mon travail est une réflexion/recherche sur l'identité. Parce qu'elle est au coeur, elle est aussi la clé. La photographie est l'une des faces de cette réflexion non verbale : celle que je donne à partager. Elle est aussi pour moi le fil de ces voyages - compagnons de photographie et de passages. La nature y occupeune place majeure - à juste titre : celui de notre origine ; mais aussi pour son extraordinaire accessibilité, et le reflet que celle-ce tend à notre universalité. S'y regarder c'est se comprendre autrement. L'universel au bout d'une branche, au bord de l'eau et à portée de main.

Site web Jean-Daniel Roche

Michel Medinger

Medinger shoots his subjects from the frontal perspective and uses backlighting and no flash to produce the subtle shadows and sculptured effect he desires. He can usually get the image he wants by the fourth or fifth shot using Polaroid Type 52, Type 53 or Type 55 instant film to "fix the moment" when his assemblages come together. These assemblages are seen as works of art in themselves. "My friends sometimes tell me I should not be a photographer at all but a sculptor and that I'm always creating sculptures," he says. "But I am caught in my way of thinking and what I care most about is revealing aesthetic beauty through a photograph of high technical quality."

Stéphane Duroy

L'œuvre photographique de Stéphane Duroy témoigne d'un effondrement : celui de l'ex-Europe de l'Est. Elle est un travail sur la mémoire d'un monde qui se fragmente et déjà n'est plus. Une enquête sur l'effacement matériel, comme un sauvetage ; hommage rendu à cette moitié d'Europe dont il serait trop facile d'oublier l'immédiat passé. Plus solide désormais que les forêts et les villes désenchantées d'une Europe du silence, l'œuvre photographique s'érige en mémoire pour l'avenir. Elle intègre le livre, l'exposition, les collections, abandonnant ici ou là double trace : celled'une Europe en cours de disparition, celle d'une œuvre d'image en voie d'édification. Si le chantier est ce désordre programmé sans cesse réinventé, alors le marché de la photographie s'installe en véritable chantier. Il se construit, il enfle sous l'emprise d'œuvres d'art si légères, simobiles, dont les doubles voyagent si facilement sur les réseaux numériques... L'explosion du photographique dans le monde occidental ne lasse pas de nous questionner : qu'est-ce qu'un marché ? Quelles sont les figures caractéristiques de son fonctionnement ? De quel poids pèse-t-il dans la dynamique de l'œuvre ? De quelles aptitudes fait-il preuve dans le façonnement d'une double histoire : celle de la photographie, celle du monde contemporain ?

Lucien Clergue

Bercé par la douceur du vent et du soleil camarguais, Lucien Clergue a grandi au sein d'une famille de commerçants. Il étudie le violon avant de découvrir la photographie. A la mort de sa mère, il entre à l'usine, mais les rencontres - notamment avec l'écrivain Jean-Marie Magnan, qui lui sera d'un grand soutien - et les voyages le poussent à persévérer dans le domaine artistique. En 1953, il publie ses premiers clichés dans le quotidien Le Provençal, rapidement suivis de séries de photographies comme Les Saltimbanques (1954). Il rend visite à Picasso, et fait la connaissance de personnages aussi différents que Manitas de Plata, Jean Cocteau et Max Ernst. Il se découvre un grand intérêt pour les nus, qui deviennent son sujet de prédilection avec la corrida et les paysages. En l'espace de quelques années, il publie un premier livre (' Corps mémorables'), expose ses travauxà Zurich et à Cologne, et participe au film 'Le Testament d'Orphée' de Jean Cocteau. Ces expériences passionnantes l'amènent à quitter son travail en 1959 pour devenir photographe indépendant. Dès lors, les expositions se succèdent - en France, aux Etats-Unis, en Espagne, au Japon, ... - les livres se multiplient - il en publiera plus de 70, dans le monde entier - et Lucien Clergue prend part à de nombreux projets. Il crée des décors de spectacles, donne des conférences à travers le monde, réalise plusieurs courts métrages... Son talent est aujourd'hui unanimement reconnu.

Thierry Vallet

C'est la lecture de "Prague panoramique" de Josef Sudek qui m'a donné envie de redécouvrir la photographie vers l'âge de 45 ans. Après quelques tâtonnements, je loue puis achète un appareil panoramique et décide de me consacrer à la photographie de paysage en utilisant exclusivement le film inversible en couleurs. Après une première publication dans la presse magazine, j'acquiers le statut de photographe indépendant en 2002 et démarre conjointement deux projets d'envergure: "Paris en 6x17" et "La France en 6x17".

Site web Thierry Vallet

Miguel Rio Branco

Miguel da Silva Paranhos do Rio Branco nasceu em 1946 em Las Palmas de Gran Canaria, Espanha.É pintor, fotógrafo, diretor de cinema, além de criador de instalações multimídia . Atualmente vive e trabalha no Rio de Janeiro. Trabalhou intensamente na Europa e Américas desde o começo de sua carreira, em 1964, com uma exposição em Berna, Suiça.

Site web Miguel Rio Branco

Clément Philippe Marie Martin

Je suis photographe. Parti en Chine le 8 août 2011, je suis revenu en France le 14 octobre 2011 avec cette série. Toujours autour de l'humain comme sujet. Dans l'émotion, avec un peu de poésie ou d'humour comme fil conducteur. Je travaille en argentique de la prise de vue jusqu'au tirage. Je préfère les contrastes forts et les couleurschaudes. Etudier la composition et la lumière. Au hasard des ruelles, à l'abri de pavillons perdus, derrière des façades blanches, l'intensité des ciels change très vite en Chine.

Site web Clément Philippe Marie Martin